This paper is the third part of Avant-propos du langage des objets au langage des choses, deux mots sur la révolution baylienne: first part, second part.

Using an example of Frankenstein Symphony by Francis Dhomont, the author explains the role of collage in electroacoustic music. He analyses the disparate structure of this work and concludes with the suggestion that all things have some kind of a form.

Cet article est la troisième partie de Avant-propos du langage des objets au langage des choses, deux mots sur la révolution baylienne : première partie, deuxième partie.

A partir d'exemples de la Frankenstein Symphony de Francis Dhomont, l'auteur explique le rôle du collage dans la musique électroacoustique. Il analyse la structure disparate de cette œuvre et conclut avec l'idée que toute chose possède une sorte de forme.